Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en cause de nouveaux suspects et le suicide du premier juge d'instruction, Jean-Michel Lambert. Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse " d'aboyer avec la meute " et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique. Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient œuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au cœur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique. À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...
J'ai tué le fils du chef - Affaire Grégory, le roman de la Vologne 1984-2018
Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin, quatre ans, est retrouvé mort ligoté dans la Vologne, une rivière vosgienne. Cet assassinat, revendiqué avant qu'il ne soit commis, par son mystère, sa cruauté et les innombrables rebondissements de l'enquête, va devenir l'une des plus incroyables affaires criminelles de l'histoire judiciaire. L'année 2017 a été marquée par la mise en cause de nouveaux suspects et le suicide du premier juge d'instruction, Jean-Michel Lambert. Trente-trois ans après la mort de l'enfant, nous en sommes toujours à chercher qui a tué. À l'époque, Denis Robert signait ses premiers articles pour le quotidien Libération. Dès son arrivée sur les lieux du crime, il s'est tenu en marge de l'événement et a adopté, avec constance, un positionnement atypique, s'intéressant autant à l'énigme qu'à son traitement. Observateur exigeant et lucide, il refuse " d'aboyer avec la meute " et suit l'enquête en conjuguant impressions personnelles et mise à distance critique. Il reprend ici le fil de son journal et nous livre une vision inédite de l'affaire. Le temps a patiné l'écriture au quotidien. L'ensemble des textes réunis dans une stricte chronologie devient œuvre littéraire. C'est une histoire brute, brutale. À peine reconstruite. Une plongée ininterrompue dans les méandres d'une instruction monstrueuse. Nous entrons sans pouvoir le lâcher dans un roman vrai à la dramaturgie inégalée, avec le sentiment permanent d'être au cœur d'un drame hanté par le cerveau malade d'un corbeau maléfique. À chaque page tournée, on se demande, inquiets, ce qui va encore pouvoir nous arriver...
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Claudie –
J'avais peur de me retrouver encore une fois devant une narration désincarnée des faits, comme on peut en lire ou en entendre beaucoup. Je me trompais. le propos fait preuve de beaucoup recul et parfois de sarcasme. C'est vraiment le point de vue d'un être humain, on l'entrevoit (l'être humain) derrière les lignes. La lecture est facile et... agréable. On est à bonne distance. Du bon, du très bon travail. J'avais peur de me retrouver encore une fois devant une narration désincarnée des faits, comme on peut en lire ou en entendre beaucoup. Je me trompais. le propos fait preuve de beaucoup recul et parfois de sarcasme. C'est vraiment le point de vue d'un être humain, on l'entrevoit (l'être humain) derrière les lignes. La lecture est facile et... agréable. On est à bonne distance. Du bon, du très bon travail.
Thomas Dugrosprez –
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